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MICHEL

MON PERE : POEMES
VINCENT
IL ETAIT MON TONTON VINCENT
Je te revois cassé, mon géant débonnaire,
Pleurant, muet, vidé, loque démissionnaire...
Rien, ne trouvait rien, notre imagination,
Pour ouvrir par un mot une conversation !
Ce furent tes enfants qui opiniâtrement,
Enserrant père et mère, y tenant tellement,
Trouvèrent en leur coeur ton chemin d'espérance
Puis en notre famille amour et déférence...
Enfin fut Florentine, eau vive d'optimisme,
Pétillement d'humour, inlassable bonté !...
En amour te rendit la joie de l'unité...
Bien trop tôt abattu par l'odieux despotisme
Tu sais bien qu'à jamais endormie loin de toi
Florentine a gardé la place de son Roi...
Michel TALIERCIO
Ce 18 Octobre 1999
VINCENT: À propos
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